Mickeal Van Ericson •• I'M THE BOY OF YOUR DREAMS.

MICKEAL VAN ERICSON
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image LJ, icone fanpop Je suis né(e) le 8 septembre à Los Angeles en Californie
Ce qui fait de moi un américain, californien
Je pratique le métier d'assistant au VF
De plus, je suis célibataire depuis quelques temps, je préfère draguer.

I AM WHAT I AM. WHO CARE IF YOU DON'T LOVE ME ?
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Caractère : Élaborer le caractère de votre personnage ici. En une dizaine de lignes, expliquez ce qu'il fait de lui ce qu'il est aujourd'hui. Négligez pas les défauts et qualités, et évitez les énumérations.

C'est difficile de se détacher des étiquettes que l'on nous colle. Quoi qu'avec le temps, on s'y habitue, à vrai dire. Assuré, c'est ce que je sais faire de mieux . En gros, décrire Mickeal Van Ericson se contenterait à ceci: Je l'avoue, je suis narcissique. Je dois toujours bien paraître. Je tiens ce '' défaut '' de ma mère. Mon enfance, mon adolescence, c'était pour elle quelque chose de très important, d'avoir la meilleure image de soi, et une assurance parfaite. En tant que fils de riches, je devait me plier à ces obligations. J'suis peut-être pas le type le plus brillant, même si j'accroche parfaitement le qualificatif '' d'idiot '' . Mais j'aime bien me la jouer. Et puis, des filles, j'en manque pas. Alors du faite, j'en profite autant que je le peux. Autrement, je suis le type de mec qu'on qualifie de quand même assez sportif, avec un bon sens de l'humour, un homme de party ! Un vrai de vrai, j'le jure. Moi, dès que ça sent l'alcool, les femmes, la musiques et... - pourquoi pas la drogue, par moments, c'est bien non ? - c'est assuré que je m'empresse d'avoir l'adresse, j'saute dans ma bagniole et BAM. Mister Ericson est dans la place. J'aime être le centre d'attention, le centre d'attraction. Quand tout les regards se posent sur moi, c'est comme une grosse victoire. Une réussite. Que j'ai réussi à me démarquer. Mais c'est tout autrement quand j'entre dans le bureau de ma mère. Vous savez, Evelyne Van Ericson. Pour elle, à présent, je ne vaut plus grand chose. Et pour moi-même, je suis au plus bas de l'échelle à comparé d'elle. J'aimerais avoir le courage de lui avouer que mon père l'a trompe, son propre mari. Mais l'argent est bien trop important pour que celà ne l'intéresse. Et comme ça m'amuse bien, je passe à côté les yeux - presques - fermés .

ONCE UPON A TIME, MY LIFE
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Histoire : Racontez la vie de votre personnage. Vous pouvez narrer sa vie ou choisir des anecdotes précises qui aideront les autres membres à le cerner, à connaître son passé, car après tout, on en a tous un ! Vingt lignes ici.

Postez ici.

ME, MYSELF & US
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Liens Si vous avez choisi un PV, décrivez de votre point de vue les relations qu'il entretient avec les autres. Si c'est un personnage inventé et que vous n'avez pas posté dans les demandes de liens, décrivez simplement comment il interagit avec les autres, s'il est du genre à se faire des amis ou claquant des doigts ou si c'est un solitaire endurci.

wondergirl © adèla pandora micardis , featuring leighton meester
what a fucking link, you think ? je t'aime moi non plus.
Vous savez, quand nous étions jeunes, on regardait à peu près tous Tom & Jerry. Vous savez, le chat qui, par faim, se tuait à vouloir attraper la petite souris. Adèla et moi, c'est un peu ça. Mais disons que, c'est plus par désir que par faim, que j'la veux. Malgré tout, c'est la seule qui me résiste. On a beau vouloir s'éviter, nous nous côtoyons à peu près tout les jours. Elle est l'une de ces mannequins affamés et presques pas payés. Elle mériterait tellement mieux. Moi. Disons que je ne suis pas très bien placé pour parler, étant que le simple assistant de ma chère mère. C'est d'ailleurs elle qui l'a engagé, ma Adèla. J'me rapelle, ses yeux, son visage, son sourire, lors de ma première journée de travail. Elle ne se doutait pas du tout de ma supérieure, qui était la sienne aussi. Pourtant, en la draguant, c'était différent. Il y avait un petit quelque chose de plus que les autres filles. Elle m'a peut-être repoussé bien franchement, cette histoire n'est pas prête de s'effacer.

chola nugs © evelyne van ericson, featuring charlize theron
what a fucking link, you think ? mother & boss.
Pour elle je ne suis qu'un employé. Comment mieux décrire notre relation ? Elle est exactement comme la relation qu'elle entretient avec ses employés, soit presque nulle. Bon ok, ce demeure quand même ma mère. Une vraie mère poule. Evelyne m'a engagé pour m'avoir à l'oeil. J'ai beau me traîner dans toutes les fêtes que je veux, me saouler à mort ou coucher avec n'importe quelle fille, on dirait qu'elle sait toujours tout et tout sur moi, sur mes faits et gestes. Parfois, j'aimerais seulement pouvoir avoir le courage de lui dire; « Maman, papa te trompe. » BAM. Dans ses dents. Haha, j'aime cette expression. Pour continuer; en même temps, lui avouer que M. Van Ericson l'a trompe avec sa secrétaire, ce serait comme les attentats du onze septembre, dans sa tête. Elle est tellement glaciale avec chaque personne, que j'y songe de plus en plus. Elle brîme ma liberté, réduit ma joie. Alors pourquoi pas en faire de même avec elle ?

`sassy © dwayne williams, featuring ed westwick
what a fucking link, you think ? coloctaire et best friend ?
Depuis le début, on est complices. On fesait les pires coups au lycée, et même le proviseur était conquis par notre angélique air. Le duo infernal, Mick et Dway, sans hésitation. Aucunes filles ne nous résistaient, ça a pas changé. En gros, nous avons peut-être grandit de quelques centimètres, Dwayne et moi avons gardé notre coeur d'adolescent. C'est clair qu'à présent, l'alcool met beaucoup plus d'action dans les fêtes que l'on courrent, autrement, nous n'avons pas changer. Ceux qui connaissent Dwayne le connaissent en tant que courreur de jupons et pas autrement. Un vrai dragueur. Ok, ok, c'est vrai. Mais à force de le voir et de lui parler à tout les jours, je suis à peu près le seul à voir que sous sa carapace, il a un coeur non pas en pierre, mais en or. C'est vraiment un mec bien, j'me verrais pas sans mon Dwaynie chéri. C'est mon mec, le mien =)

maybe tomorrow™ november iris sundwall , featuring taylor momsen
what a fucking link, you think ? like my real sister
Nous nous sommes connu il y a quelques années. J'avais quoi, pas plus de quatorze ans. Sa famille était un peu dans le trou, et au début, j'aimais bien me moquer d'elle. Mais je n'abordais jamais son côté un peu paumée, oh non, jamais ! Mais Madame La-Rebelle Sundwall était plutôt rigolote à voir quand elle se fachait. Et ça m'amusait. Mais bien vite, une relation s'est formée entre nous et a évoluée assez rapidement. Et cette relation se compliqua dès que nous commencions à se fréquenter en dehors des heures de cours, moi chez elle, et pire, elle chez moi. Après quelques informations receuillies sur la famille Sundwall, ma mère - qui avait dirigé sa propre petite enquête - m'interdit formellement de côtoyer November. Elle ne fesait pas partie de la même classe sociale que nous, et donc, c'était mauvais à notre image. Depuis ce jour, je l'a déteste - ma mère - à un tel point où je me tuerais pour November. Je l'a considère comme ma petite soeur, ma vraie soeur. Je l'ai pris sous mon aile et je serai toujours là pour No, corps et âme. iloveyou baby
c'est mon scénario à poster

WHAT YOU THINK ABOUT THAT ?
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Fashion Gossip :Peu importe si elle s'acharne sur ton cas ou pas, si elle détruit ta réputation ou t'aide à la bâtir. Tu la connais, tout le monde qui elle est - pas au sens propre, on s'entend. Alors toi, qu'en penses-tu, de Fashion Gossip ?

Okay, non, heu, hen ? Sérieusement ?

Une Fashion Gossip, tu dis ? Si ça l'amuse, j'ai aucun problème avec ça, moi. Sérieusement, quant à savoir avec qui ma dernière conquête m'a tromper, pourquoi pas la ridiculiser devant tout le monde, hein ? Et puis, faut bien quelqu'un pour nous enmerder. Ça fait de l'action, en plus. Quoi que, c'est pas toujours l'idéal. Elle perd un peu son temps; moi ça m'est égal, mais de tout dévoiler au grand jour, sans être certain des sources de ces rumeurs, c'est le truc con et banal.

YOU WANT THAT PERSON'S BACK
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LJ & fanpop Matt Lanter the beautiful
Groupe; « I've got to be better than them »
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Pseudo; freeze , Catherine
Où avez vous connu YBTU ? par annie que j'aime full bco
Activité (5/7)
Commentaires ; c'est vraiment .. wow comme forum ! félicitations ^^

ONCE UPON A TIME, MY LIFE
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Histoire : Racontez la vie de votre personnage. Vous pouvez narrer sa vie ou choisir des anecdotes précises qui aideront les autres membres à le cerner, à connaître son passé, car après tout, on en a tous un ! Vingt lignes ici.

icecream ©

vicious circle ©
Mickeal Van Ericson

Je suis né en Californie, au plein cœur de Los Angeles. Vous savez, cette grande ville où comme ici, à New York, règne smog, pollution et population grandiose ? Et oui, le seul et unique enfant des Van Ericson, c'est moi. Les Van Ericson, d'ailleurs connus pour avoir à la tête du magasine Vanity Fair, Evelyne, ma mère. Ayant été un enfant unique toute ma vie - bon okay, durant vingt-et-un ans -, mes parents m'ont toujours chéri, gâté, et ont veillé à ce que je ne manque de rien. Mais je ne les voyais que très rarement. Papa V. Ericson était souvent occupé au bureau, et fesait supposément partie d'un club de poker ou de je-ne-sais-quoi - de là ses rendez-vous cachés avec sa secrétaire -. Quant à Maman Evelyne, elle consacrait tout son temps au magasine. Plus jeune, je m'étais promis de ne pas être comme eux. Allez savoir pourquoi j'ai tenu à être l'assistant de ma pauvre ~~et débile~~ mère. J'ai eu une enfance assez différente des autres; Madame Keller était ma nounou, et pourtant, agissait comme ma deuxième mère. Elle me portait à l'école le matin et me ramenait chez moi le soir, elle m'aidait avec mes devoirs, elle me fesait à souper, puis elle me donnait un bain, écoutait un peu de télé ou jouait avec moi, puis me bordait. Mes parents rentraient très tard le soir, tout juste comme j'arrivais à fermer l'œil. Selon eux, ils s'en voulaient énormément de ne pas être là pour voir leur petit garçon grandir. Qu'est-ce qui les empêchait ? Après tout, je ne leur ai rien demandé. C'est en grandissant, entrant dans la phase '' Je ne suis plus un enfant mais je ne veux pas être adulte tout de suite '' - adolescence - que je compris tout, que je réalisai des trucs qui autrefois, m'avaient parus si normaux dans ma petite tête d'enfant. Madame Keller décéda quelques jours avant mon treizième anniversaire. Je ne l'oubliai pas, cette vieille dame aux cheveux tout blancs, et à la peau si douce malgré les rides qui l'ornaient. À cette période, mes parents me convainquèrent que j'étais à présent grand, un grand garçon, que je me devais d'agir en adulte, de veiller à avoir une bonne image de moi peu importe l'heure du jour ou de la nuit, et ainsi de suite. Oh, ainsi qu'oublier Madame Keller. Cette vieille bonne femme folle, comme ils l'a surnommaient si bien, n'avait pas servit à grand chose, de toute manière. QUOI ?

Ah, mes quatorze ans. Ma quatorzième année de vie. Que de souvenirs. C'est à cet âge que je commençait à devenir ce que je suis à présent. Le genre de mec qui veut se payer tout bonne fille à prix réduit. Eh ouais ! Déjà, à peine entré dans l'adolescence, je pensais aux filles plus qu'à n'importe quoi d'autres. Mais une petite blonde en particulier retint mon attention. November. November Iris Sundwall. Sa présence m'était indispensable, mais une charmante ( ~~CHARMANTE ?~~ ) dame m'interdisait de la côtoyer. Ma mère. Les Sundwall ne faisait pas partie de la même classe sociale que nous - leur famille était un peu dans la misère -, j'avais eu beau essayer de convaincre ma mère d'autre chose, son idée était faite; ce n'était pas bon pour l'image de notre famille. Mais faisant à ma tête, je pris November sous mon aile et à ce jour, décidai de la considérer comme ma petite sœur, ma vraie sœur. Puis les fêtes se multiplièrent, les bières consommées aussi. Ma mère tenu à ce que je sois son assistant dans son débile magasine, et j'acceptai, en tant qu'emploi d'été. J'y fit une rencontre, Adèla, qui apparement et étrangement, était jusqu'à présent la seule fille à me résister. Mais j'ai pas fini, avec elle. Je décidai de conserver cet emploi, décidant de prendre les jours venant comme ils viendraient. Ce fut moi, c'est moi, ce sera moi. Mickeal Van Ericson