▬ description des groupes

« would you resist to gossip ? »

« Ne me dîtes pas que j'ai besoin d'une présentation ?! Tout le monde a New York me connait, m'admirent ou me craint. Vanity Fair a voulut m'humilier, insulté mes écrits, ils doivent s'en mordre les doigts maintenant que j'étale aux grands jours les secrets de l'industries. Et croyez-moi, il n'y a rien de glamour là-dedans ! Une directrice qui couche avec un assitant, des mannequins camés jusqu'aux bout des ongles.. vraiment, je suis bien heureuse d'avoir échappé à cette débauche. Ils auraient dû y penser à deux fois avant de virer celle qui deviendrait la célèbre Fashion Gossip. La même qui reçoit plus de deux milles visites par jour sur son site. Simplistes, disiez-vous ? Étrange, els new yorkais ont l'air à apprécier mes articles. Comme quoi l'erreur est humaine et que tout le monde ne peut pas conserver ses secrets. Heureusement pour moi, je en suis pas tout le monde. »

« be cute & don't forget to smile »

« Tout le monde veut leur ressembler et pourtant, qui devinerait ce qui se cache réellement derrière ses sourires superficielles et ses rires creux ? Mise à part moi, s'entend ! Apparemment, le look «famine» marche bien pour Vanity Fair. Leurs mannequins sont aussi squelettiques que les soeurs Olsen et par pitié, ne prenez pas cela pour un compliment ! Ils sont payés un salaire de misère, ne paraisse même pas sur toutes les couvertures et vous les enviez ? Ah, ce monde, je ne le comprendrais apparemment jamais ! »

« let your pen talk »

« J'aurai pu être en compétition avec ces gens ― même si, évidemment, j'aurai été bien meilleure qu'eux. Mais ça, c'est une autre histoire. Leurs articles sont publiés dans le Vanity Fair et ils ont la possibilité de faire valoir leurs écrits à toute la population new yorkaise. Certains ne mérite pas cette chance ( dépourvus de talent, mais expert lèche-bottes ) , mais la vie est injuste après tout ! »

« I've got to be better than them »

« Pour la plupart, ils n'ont pas souhaité se retrouver aux ordres d'un patron imbus de lui-même. Leur réel objectif était de faire partie de l'équipe, d'être vitale au magasine. Vous auriez du voir leur tête lorsqu'ils ont appris que leurs seules tâches seraient de coordonner l'horaire de leur employeur, de lui servir un bon café et de répondre au téléphone ! Trop marrant ! Bon, il y a les éternels optimistes qui croit qu'ils finiront par se faire valloir dans un monde cruel et ô combien injuste, mais franchement, qui y croit réellement ? »

« i made the rules. so follow them »

« Ah, c'est très chers patrons ! Ils pourraient être sympathique si leur jugement n'était pas altérés par la caféine - et si par la même occasion ils ne m'avaient pas virés. Vous savez ce qui est le plus marrant ? C'est qu'aucun d'eux ne sait qui je suis et ce pendant, moi je révèle toutes leurs magouilles et salit par la même occasion leur réputation. Non je ne crois pas qu'ils m'apprécient. Ils donneraient tout pour que l'un de leurs employés me démasquent - autant leur demander la lune, leurs chances de réussite sont les mêmes. La direction de Vanity Fair serait près au pormouvoir quiconque accomplirait l'exploit.»

« click ! click ! smile baby ! »

« Je dois l'avouer à contre coeur, certains employés ont du talent à Vanity Fair. Les photographes par exemple. Que Dieu les bénissent, eux, qui supportent les crises de starlettes des mannequins tous les jours sans broncher. Et même avec ce que ces prima diva leur font subir, ils prennent tout de même le temps de retoucher leur photo, caché l'acné d'une telle ou dessiner des adbos à un autre. Tenir l'objectif n'est pas toujours un jeu d'enfant ! »

« new york; what a great city ! »

« Peu importe leur lien avec la mode, ils en ont tous un et c'est pour cette raison que je l'ai considère également comme mes victimes. Ils lisent mes articles, angoissés de repérer leurs noms entre deux lignes. Je les plains franchement, victimes de la mode et de Vanity Fair qui semblent diriger leurs vies. En général, ces dernières n'ont rien d'interessantes, mais je ne fais pas de favoritisme, ce serait contre mes principes. »