Une heure et demi de retard ? Que ça ? - pv Novalee

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(c) heroin & ?

Novalee Fay Woods &&' Nathaniel James Jefferson

La sonnerie que son reveil lui infligeait tous les matins, réveilla Nathaniel en sursaut ce matin là. Jamais, il n'avait comprit comment marcheait cet appareil, alors, il le laisser comme il était, c'était mieux comme ça, plutôt qu'il se retrouve avec n'importe quoi. Nate fut rassuré quand il se rendit compte que c'était seulement son réveil et pas quelque chose d'autre. Il se leva doucement de son lit et essaya de ne pas trop tarder pour ne pas arriver un matin de plus en retard à son travail, enfin, il se disait ça tous les matins et pourtant, rien ne changeait de jour en jour.

Nathaniel se depêcha de déjeuner, enfin, se dépêcher était un bien grand mot, la seule chose qu'on pourrais dire, c'est que pour lui, c'était se dépêcher, mais tellement la fatigue lui montait au cerveau, et bien, il ne voyait pas le temps passer. Enfin, le jeune homme mangeait plutôt à son rythme. Mais, c'est au moment qu'il vu l'heure que l'îdée de vraiment se dépêcher lui vient à la tête, il aurait du déjà être en route pour le travail, mais ce n'était pas le cas.

En vitesse, le jeune Nate filla sous la douche, avant de resortir en vitesse et tellement il voulait se dépêcher, il faillit s'étaler de tout son long en glissant sur l'eau qu'il laissait sur son passage, mais heureusement, il se rattrapper de peu à un meuble qui se trouvait dans le petit couloir qui rejoingnait plusieurs pièces. Enfin, il s'habilla de façon à arriver au travail sans se faire trop remarquer, déjà qu'il allait se faire assez remarqué en arrivant avec beaucoup de retard, même si tout le monde s'était habitué aux horaires que respectait le jeune homme et celle qu'il ne respectait pas. Il ne respectait presque jamais les horaires matinales, et ça, tout le monde le savait et tellement ils le savaient, ils ne lui fesaient presque jamais la remarque, apart assez régulièrement Novalee.

Bon, enfin, c'est avec 1 heure et demi de retard que Nathaniel arriva au travail. Il ne s'exusa même pas, il ne le fesait jamais. Il commença tranquillement à s'installer à son bureau.

Deux heures s'étaient écoulés depuis mon arrivée au boulot. Je n'étais pas du type lève-tôt habituellement, mais comme cette mascarade d'employée modèle m'obligeait à être irréprochable, j'arrivais tous les matins avec une demie-heure d'avance et aujourd'hui ne faisait pas exception à la règle. Je m'étais levée, traînant les pieds jusqu'à la salle de bain pour une douche. Chaque jour, c'était la même routine. Je me douchais, j'avalais mon petit déjeuner, je m'habillais et c'était avec les paupières lourdes de sommeil que je prenais le taxi jusqu'au travail. L'immeuble, vu de l'extérieur était imposant et admirablement moderne. Il représentait tout ce que j'avais rêvé et tout ce qui me permettrait d'atteindre le reste de mes buts. C'était donc joyeuse, en dépit de la fatique, que j'entrai au Vanity fair, tous les jours de la semaine. Je devais l'avouer, la routine me lassait. Mais il fallait que je sois exemplaire pour gagner en notoriété et si cela signifiait me lever tous les matins à 5h00, je n'hésitais pas.

La majorité des bureaux étaient déserts lorsque je rejoignais le mien et les autres employés ne commençaient à afflués que vingt minutes plus tard.. à l'exception d'un seul, évidemment. Il ne franchit les portes qu'une heure et demie après tout le monde. Son air détaché laissait croire qu'il se fichait bien d'être le dernier à arriver, 90 minutes en retard. Il était au-dessus de ça, lui. PFF ! D'un pas non chalant, il gagna son bureau, celui en face du mien. J'avais, en plusieurs tentatives vaines, essayer d'échanger mon bureau, mais personne n'avait voulu fair eune bonne action apaprememnt car je me retrouvais face à face avec lui tous les saints jours de la semaine. Continuant à fixer l'écran de mon portable, je ne levai même pas le regard pour m'adresser à lui.

« Une heure et demie de retard. Quel exploit ! Par ici la monnaie ! »

Je me retournai vers ma collègue, avec qui j'avais parier vingt dollars quant à l'heure exacte où Nathaniel arriverait. Bonne joueuse, elle me tendit le billet, mais avant que mes doigts ne puisse se refermer dessus, Nate le récupéra en la remerciant.